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Histoire numéro 1 - La puissance de la Tsédaka

Le Rav ‘Haïm de Volozjin qui était le grand disciple du Gaon de Vilna, a transmis un jour son cours de Guémara à ses élèves à la Yéchiva, il avait beaucoup de questions qu’il n’arrivait pas à résoudre, le sujet traitait était concernant le Cha’atnez (mélange de lin et de laine, interdite à porter par la Torah). Le Rav a terminé son cours sans répondre à toutes les questions. La  nuit-même, il fait un rêve, et dans son rêve, un homme vient à sa rencontre et lui dit « viens on va étudier encore une fois ensemble ce traité, cette page de Guémara sur laquelle vous avez beaucoup de questions. » Et l’homme en question lui explique de façon magistrale le sujet traité, en répondant à toutes ses questions. Le Rav, fasciné par ce cours magistral, lui dit « mais je  me rappelle de toi, tu étais un simple tailleur dans la ville, tu savais à peine lire l’hébreu, comment est-ce que maintenant tu viens m’expliquer une Guémara si complexe ? » Et l’homme de lui répondre « en effet, mais j’avais une bonne habitude, j’avais sur ma table de travail une Tsédaka, et chaque somme que je gagnais, je mettais de côté 50% dans cette boite de Tsédaka pour soutenir l’étude de la Torah dans notre ville, et grâce à cela maintenant, dans le monde futur, j’étudie la Torah comme un grand érudit. »

Histoire numéro 2 - Référence Hilkhot Maasser Kessafim ,introduction

Un homme aux Etats-Unis était très méticuleux par rapport à la Mitsva de Maasser. Le Rav de la ville lui pose la question « pourquoi fait-il tellement attention au Maasser ? », et l’homme raconte que dans sa jeunesse, il y avait dans sa ville un marchand qui donnait chaque mois son Maasser au Rav qui enseignait aux enfants ; ce Rav était un homme simple et nécessiteux, mais un grand Tsaddik. Un beau jour, ce marchand a fait une affaire extraordinaire, et comme d’habitude il a prélevé de cette fortune qu’il a gagné le Maasser pour le donner au Rav en question, mais le Rav a refusé en disant qu’il n’a pas besoin d’une telle somme énorme pour sa Parnassa, et le Rav a proposé au marchand la chose suivante. Il lui a dit « dans ma classe, j’ai deux enfants qui sont très doués, mais cependant ils sont très pauvres, et à mon avis, a-t-il dit, si on les envoie étudier dans une des grandes Yéchivot, chez de grands Rabbanim, ils pourront être de grands érudits en Torah. Je propose que cette somme que tu as gagné, ce Maasser que tu me proposes, on va le proposer à leur parent, à condition qu’ils envoient leurs enfants étudier dans une des grandes Yéchivot. » Le marchand a accepté, les enfants sont partis étudier dans des grandes Yéchivot, et en effet, ils sont devenus de grands érudits en Torah. Il s’agit de Rabbi Moché Feinstein, ainsi que de Rabbi Ya’acov Kaminetsky, les deux plus grands érudits de l’Amérique de la génération passée.

Histoire numéro 3 - Témoignage ramené dans le livre « Touvekha Yabiou », tome 2, page 306

Un homme qui vivait modestement et prélevait chaque fois 10% pour le Maasser, a fait une fois une grande affaire, et sur cette fortune qu’il a gagné, il a une grande difficulté de prélever 10%, il n’a prélevé que 3% pour la Tsédaka. Et cet homme raconte que quelque temps après, en allant au travail, il a glissé et s’est cassé le pied. Il a du être dans le plâtre pendant plusieurs semaines. Lorsqu’il était guéri totalement, il a fait le compte de l’argent qu’il a perdu avec les médecins, les médicaments et la convalescence, ça correspondait exactement aux 7% du Maasser qu’il a enlevé de la Mitsva de la Tsédaka. « Conclusion, a-t-il dit, il faut choisir : ou alors consacrer son Maasser pour la Tsédaka, ou alors pour des dépenses médicales. »

Histoire numéro 4 - Référence Or’hot Ich, tome 1, page 144

Une dame, après une fausse-couche, lorsqu’elle était encore une fois enceinte, avait très peur de faire encore une fois une fausse-couche. Son mari est rentré chez le ‘Hazon Ich pour lui parler de leur problème et de leur inquiétude. Le ‘Hazon Ich leur a dit « si seulement vous prenez sur vous de prélever le Maasser pour la Tsédaka, tout ira bien », et en effet, tout s’est bien passé. Après quelques mois, elle a accouché un enfant de façon normale, et le ‘Hazon Ich était le Sandak.